Un avocat défendait un homme accusé de vol à l’étalage. Une idée le mena à essayer une défense intéressante: « Mon client a innocemment introduit son bras par la fenêtre et le ressortit avec quelques bijoux. M. le juge, c’est son bras et non lui que l’on doit punir. »
Le juge, souriant, lui répondit : « Eh bien Maître, suivant votre façon de penser, je condamne le bras de l’accusé à une peine d’emprisonnement d’un an. Il peut accompagner son bras en prison ou pas. À lui de choisir. »
Devant ces mots, l’avocat, souriant, s’approche de son client. Il l’aide à décrocher son bras artificiel, le laisse sur la table et quitte le tribunal avec son client.